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bandu2 : menu_arrow.gif Artikeln: Le seul chemin (3). (Pasteur Josué Matthieu) - 26/09/2009 11:49

 

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La révélation de ce que nous sommes en Jésus

L e seul  chemin. (3) Pasteur Josué Matthieu

LE PLAN DU SALUT

...

Mais pour Dieu, lorsque nous « faisons à notre tête », cela représente une rébellion qui brise notre relation avec Lui.

Notre péché entraine une séparation d’avec Dieu notre Créateur.

La Bible dit : « ce sont vos fautes qui ont creusé un abime entre vous et votre Dieu… »  (
Ésaïe 59:2)

3. Nos vaines tentatives

Ne pouvant connaître un bonheur durable sans Dieu, nous cherchons tous à combler ce vide du mieux que nous pouvons. Certains tentent de se construire des ponts pour se réconcilier avec Dieu.

Puisque nous sommes tous imparfaits et pécheurs, notre justice n'est pas à la hauteur de la loi de Dieu. Tous nos efforts de réconciliation sont forcément insuffisants.

Même si « la loi est bonne », la Bible dit que : "nul ne sera justifié devant Dieu par les œuvres de la loi." (Romains 7:16, 3:20. « Car quiconque observe toute la loi, mais pêche contre un seul commandement, devient coupable de tous. » (Jacques 2:10)

La Bible dit aussi que « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». (Romains. 3:23)

S'il n'en tenait qu'à nos efforts, nous ne serions jamais réconciliés. Mais heureusement...

*  *  *

Pasteur Josué Matthieu

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bandu2 : menu_arrow.gif Artikeln: Jésus est le seul chemin (Pasteur Josué Matthieu) - 26/09/2009 07:59

 

 

 

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La révélation de ce que nous sommes en Jésus

La vérité des Ecritures. (1)

JÉSUS EST LE SEUL CHEMIN

Êtes-vous capable de créer à partir de rien? Croyez-vous vraiment qu’une nature et qu’un univers aussi complexes et merveilleux auraient pu naître d’un big bang? Nous pas. Nous devons conclure à l’existence d’un Dieu, d’un Dieu créateur qui est au-delà de notre compréhension.

Il nous a créés pour qu’on puisse vivre éternellement à ses côtés dans la paix, l’amour et la joie. Mais, l’homme a fait le contraire de sa volonté (péché) et comme un Père, il nous a châtiés et condamnés à une mort spirituelle éternelle.

Mais, aussi comme un Père, et dans son Amour incompréhensible, il nous offre de nouveau cette vie éternelle, en cadeau, à une condition. Le cadeau? Il nous a envoyé Jésus, son Fils, mourir a la Croix, pour nous réconcilier avec Lui.  La condition? Dieu, dans le Nouveau Testament, nous dit très bien que notre Salut (vie éternelle) ne dépend pas de nos œuvres, mais de ce que Jésus à fait pour nous à la Croix et….

Vous voulez en savoir davantage? Je vous invite à lire attentivement Le Plan du salut celui qui mène à une
vie éternelle auprès de notre Dieu.

A suivre.

*  *  *

Pasteur Josué Matthieu

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bandu2 : menu_arrow.gif Artikeln: La vérité des écritures [5]. (Pasteur Josué Matthieu) - 25/09/2009 18:23

 

 

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La révélation de ce que nous sommes en Jésus

La vérité des Ecritures.(5)

LA RÉSURRECTION DES MORTS

*  *  *

« Il leur annonçait Jésus et la résurrection » (Actes. 17 : 18) « Mais quand ils entendirent parler de la résurrection des morts, les uns s'en moquaient » (Actes. 17 : 32). « Mais s'il n'y a pas de résurrection des morts... notre prédication donc est vaine aussi et votre foi est aussi vaine... Alors Christ n'est pas ressuscité et. Vous êtes encore dans vos péchés. Ceux donc aussi qui se sont endormis en Christ ont péri » — 1 Cor. 15 : 13-18.

Si nous nous rappelons que, dans le Nouveau. Testament le mot « résurrection » — outre divers autres mots synonymes — est employé non moins de trente sept fois, et que tous les principaux credo de la chrétienté proclament leur foi dans une résurrection parce qu'étant la partie intégrale et essentielle d’une doctrine scripturale et de l’espérance en une vie éternelle, pour ces raisons et étant donnés les termes énergiques des textes cités plus haut et dont tous les chrétiens admettent l’inspiration, il peut paraître étrange que nous posions à tous les chrétiens, la question suivante : Croyez-vous à la résurrection des morts ?

Néanmoins, nous avons des raisons sérieuses de douter que la croyance en la résurrection des morts domine à un degré considérable parmi les chrétiens, et c'est parce que nous croyons que la résurrection est une doctrine très importante dans ses relations avec d’autres doctrines des Écritures (les mettant en lumière) que nous désirons appeler l'attention générale sur ce sujet et inviter à l'examen de notre question à la lumière des faits et des Écritures ; nous espérons qu'après une étude attentive de la chose, plus nombreux encore seront les membres du peuple de Dieu qui croiront — sans se démentir, avec logique, et d'accord avec les Écritures — en une résurrection.

« Tel prêtre, tel peuple » est un vieil adage qui implique que les vues de la classe enseignante ou clergé sur n'importe quel sujet peuvent être considérées comme étant sûrement la caractéristique de celles qu'ont leurs paroissiens. Il n'est pas difficile de déterminer quelles sont les vues, du clergé de toutes les dénominations quant à la résurrection des morts ; car si ce thème est rarement choisi pour discourir, sauf le dimanche de Pâques, néanmoins il est indissolublement lié à chaque service funèbre, et ces nombreuses occasions, croyons-nous, nous justifient amplement lorsque nous déclarons que le clergé de toutes les dénominations et leurs fidèles ont peu ou point de foi en la résurrection des morts.

En vérité, il est d’usage, à chaque service funèbre, de lire les paroles de l'Apôtre Paul où il montre la résurrection comme étant l’espérance des chrétiens (1 Cor. 15) ; mais ceci semble être une simple concession de la part du ministre officiant. Il sent qu'il est de son devoir de lire quelque chose sur le sujet; mais les remarques qu’il fait après la lecture prouvent de la façon la plus concluante que, bien loin de croire morte la personne, dont le corps est sur le point d’être inhumé, il croit, et apprend à ses auditeurs qu'ils devraient croire que leur ami et prochain est « plus vivant que jamais ». A vrai dire, ils font fréquemment le jeu des « Spirites » et des « Scientistes chrétiens » en disant à leur auditoire que l'esprit de leur ami mort est avec eux dans la chambre, qu'il rôde autour d’eux, et que, s'il lui était permis de parler, il leur dirait : « Séchez-vos larmes, ne me pleurez pas ; je suis beaucoup plus heureux dans la gloire ».

LA MORT EST-ELLE UNE ILLUSION OU UNE RÉALITÉ ?

C'est effectivement la croyance générale parmi le monde chrétien que la mort est une illusion et non une réalité ; que les gens semblent simplement mourir, mais ne meurent pas ; qu'ils prennent simplement la forme d’une créature plus élevée ; que les soi-disant « Scientistes chrétiens » ont tout à fait raison quand ils déclarent : « La mort n'existe pas ».

Logiquement donc, quiconque admet de telles vues ne croit pas, ne peut pas croire « en la résurrection des morts », car si personne n’est mort, comment peut-il y avoir une résurrection des morts ? Que signifierait une résurrection des morts à la vie s'ils la possèdent déjà plus abondamment qu’avant leur mort apparente ?

Mais des milliers de ministres nous répondraient disant : « Quand nous parlons de la résurrection, nous voulons simplement dire une résurrection du corps — les corps que nous inhumons sortiront tous des sépulcres et les esprits qui en sont sortis à la mort les réintégreront à la résurrection. Voilà ce que nous entendons par résurrection ! ».

Eh bien ! qui aurait supposé une telle contradiction de la part de tant d’hommes instruits et bien intentionnés ! Avant d’aborder le côté scriptural de la question afin de montrer que de telles espérances sont en désaccord avec l'enseignement des Écritures, examinons la proposition de ces ministres à la lumière de sa propre inconséquence.

« ESPRIT DE SUITE, TU ES UN JOYAU » :

(1) — Ils nous disent que le défunt est « beaucoup mieux », en ce qu'il est libéré des « entraves de la chair », et que maintenant « son esprit libre prend son essor vers Dieu, n'étant plus désormais enchaîné et gêné par la poussière mortelle ». Ils sont ravis, en extase, lorsqu’ils décrivent la grandeur, la liberté et les bénédictions de celui qui est mort et qu’étant débarrassé du corps, a atteint une vie plus abondante, une connaissance centuplée et des bénédictions indescriptibles.

(2) — Au même instant ils citent les Écritures qui se rapportent à la résurrection et (par ces passages bibliques entièrement mal interprétés) nous disent que bientôt au Second Avènement du Seigneur Jésus-Christ les mêmes corps charnels qui furent inhumés seront réorganisés. (Le docteur Talmage, dans son fameux sermon sur la résurrection, décrit le matin de la résurrection et le ciel entier obscurci par les fragments des corps humains venant ensemble des diverses parties de la terre, où un doigt, un pied ou une main avaient été perdus par accident maladie ou amputation). Ils nous disent qu'alors, les êtres spirituels qui perdirent ces corps à la mort, les réintégreront pour en faire leurs habitations éternelles. Et attendu que la résurrection est montrée par les Écritures comme étant le résultat grandiose et glorieux et la consommation de notre salut ils se sentent contraints de s'extasier sur leur présentation erronée de la résurrection, et de dire combien glorieux et merveilleux en sera le résultat.

Ils semblent ignorer l'inconséquence de ces deux propositions et ils espèrent que leurs auditeurs seront aussi inconséquents et illogiques (et cette espérance est en apparence, pleinement justifiée, car la majorité de leurs ouailles gobent cette contradiction sans difficulté) ; oui, la plupart d’entre eux semblent penser que plus leur croyance est illogique et déraisonnable, plus ils ont raison de se féliciter d'avoir une foi très ferme. Cependant le fait réel, c'est qu'ils ont une crédulité simpliste. Mais en croyant en des choses insensées que la parole de Dieu, loin d’enseigner, a contredites, ils n’obtiendront aucune récompense.

A suivre.

*  *  *

Pasteur Josué Matthieu

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bandu2 : menu_arrow.gif Artikeln: La vérité des écritures [3]. (Pasteur Josué Matthieu) - 25/09/2009 12:01

 

 

 

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La révélation de ce que nous sommes en Jésus

La vérité des Ecritures. (3)

LES ANIMAUX INFÉRIEURS SONT AUSSI DES ÂMES

Nous voyons ainsi pourquoi les Écritures emploient aussi le mot « âmes » en parlant des animaux inférieurs. Ils sont, aussi bien que l'homme, des êtres sensitifs ou créatures intelligentes, mais d'un ordre inférieur. De même que l'homme, ils peuvent voir, entendre, toucher, goûter et sentir ; et chacun d'eux peut raisonner dans la mesure de son organisme, sans qu'aucun puisse, comme l'homme, le faire sur des choses aussi abstraites et d'un ordre aussi élevé. Cette différence ne provient pas de ce que l'homme et les animaux inférieurs posséderaient des principes différents de vie ; car ils ont tous des forces vitales similaires, provenant de la même source de vie, du même Créateur ; tous ces êtres entretiennent leur vie de la même manière, en digérant des aliments de nature semblable, lesquels produisent du sang, des muscles, des os, etc., chacun selon son espèce, sa nature ; chaque être propage son espèce de la même manière, transmettant à sa postérité la vie qui fut à l'origine accordée par Dieu. Ils diffèrent en forme et en capacité mentale.

On ne peut pas dire non plus que l'homme étant une âme (ou être intelligent), les bêtes ne sont pas des âmes, c'est-à-dire douées d'intelligence, de pensée, de sensation. Au contraire, l'homme et la bête sont des âmes, des êtres intelligents, conscients. Cela est non seulement affirmé par les Écritures, mais c'est un fait rendu tangible, dès qu'on a compris la signification exacte du mot âme, telle qu'elle vient d'être donnée. Prenons par exemple la création d'un chien parfait ; supposons que cette création ait été particulièrement décrite comme celle d'Adam, quelle différence de détail pourrait-on imaginer ? Le corps d'un chien créé ne serait un chien que lorsque le souffle ou respiration de vie l'aurait animé ; il serait alors une créature vivante, ayant les forces et la sensibilité qui lui sont propres, une âme vivante, d'un  rang inférieur, appelée chien ; de même qu'Adam, lorsqu'il reçut la vie, devint une créature vivante, ayant les forces et la sensibilité qui lui étaient propres, une âme vivante de l'ordre le plus élevé parmi les êtres de chair : l'homme.

L'ORGANISME PLUS RAFFINÉ DE L'HOMME

Si la grande différence qui existe entre l'homme et la bête ne réside pas dans la vie qui les anime tous deux, ni dans l'absence du pouvoir inhérent à l'âme, pouvoir que tous deux possèdent, cette différence résiderait-elle dans leurs corps ? Oui. La différence de natures est assurément toute physique ; en outre, l'avenir de l'homme fait l'objet des promesses de Dieu, tandis que rien n'est prévu pour la vie future des bêtes, lesquelles sont incapables d'apprécier la métaphysique. Toutes choses égales d'ailleurs, la forme et le poids du cerveau indiquent la capacité et l'intelligence. Sous ce rapport, l'homme a été, par le Créateur, beaucoup mieux doué que la brute. La brute a moins de matière cérébrale que l'homme, et ce qu'elle a appartient presque exclusivement aux penchants égoïstes. La volonté de son maître, l'homme, est la plus haute conception qu'elle a du bien et du mal ; le sublime dans la nature ou en morale n'est pas apprécié par la bête ; le Créateur ne l'a pas douée d'une telle capacité cérébrale.

Mais, à cause de la chute dans le péché et dans la mort, l'homme s’est fort éloigné de sa perfection originelle, de cet état duquel le Juge infaillible put dire qu'il était « très bon » ; de sorte que si un certain nombre d'humains, par la culture de leurs plus bas instincts et le délaissement de leurs plus hautes facultés intellectuelles, ont amoindri les organes du cerveau représentant ces plus hautes facultés, il n'en reste pas moins que ces organes sont toujours là et capables de développement. Ce qui n'est pas le cas chez les spécimens les plus parfaits de la création animale inférieure. C'est donc en dotant l'homme d'un organisme supérieur et plus délicat, que le Créateur l'a fait différer de la brute. Ils ont une chair et des os semblables à ceux de l'homme, respirent le même air, boivent la même eau, mangent des aliments similaires et, sont tous des âmes ou créatures possédant une intelligence : mais l'homme, avec son meilleur corps, est susceptible d'une plus haute intelligence et il est considéré par le Créateur sur un plan entièrement différent. C'est en proportion de sa dégradation par le péché et de son éloignement de la ressemblance primitive avec son Créateur, qu'il est dit de l'homme « qu'il s'abrutit », c’est- à-dire qu'il se rapproche de la brute par l'affaiblissement de ses sentiments les plus nobles et les plus délicats.

Ce qui précède est d'accord avec le témoignage des Écritures. Nous lisons en effet en Genèse. 1 : 30 : « Cela vous sera pour nourriture ; et à tout animal de la terre, et à tout oiseau des cieux, et à tout ce qui rampe sur la terre, qui a en soi la vie [Hébreux. 'nephesh chaiyah' — une âme vivante] ». — Et (Genèse. 1 : 20). « Que les eaux fourmillent d'une pullulation d'êtres vivants [Hébreux. Âmes vivantes] ». Voyez en notes les versions Darby, Abbé Crampon, etc.

CE QU'ENSEIGNE L'ÉCRITURE A CE SUJET

La même leçon, à savoir que le principe de vie, dans le genre humain, n'est pas différent de celui qui anime toutes les autres créatures respirant par les narines — pour les distinguer ainsi des poissons — est enseignée dans le récit de la destruction par le Déluge (Genèse. 6 : 17 ; 7 : 15, 22). Ceci est en plein accord avec la déclaration du roi Salomon que l'homme et la bête ont tous « un même souffle » [Hébreu ruach, esprit de vie] un même genre de vie ; et « comme meurt l'un, ainsi meurt l'autre ». (Ecclésiaste. 3 : 19). Quand il demandait (Ecclésiaste. 3: 21) : « Qui sait si le souffle des fils de l'homme monte en haut, et si le souffle de la bête descend en bas dans la terre ? », il combattait la théorie païenne qui, même en ce temps-là, avait commencé à se répandre, savoir qu'une certaine vertu, inhérente à la nature de l'homme, le prémunissait contre la mort, alors même qu'il semblait mourir. Le sage conteste toute preuve, toute connaissance soutenant cette théorie. Ce défi qu'il lance aux autres de ne pouvoir apporter aucune preuve, ou d'admettre qu'ils n'ont pas une telle connaissance, suit la vérité qu'il énonce sur le sujet, dans les versets 19 et 20.

La différence entre l'homme et la bête ne réside pas dans le genre de souffle ou vie, mais en ce que l'homme a un organisme plus raffiné que celui des autres animaux ; il possède des facultés morales et intellectuelles et des qualités à l'image ou ressemblance de celles du Créateur dont l'organisme d'esprit et non de chair, est beaucoup plus raffiné encore. Et, comme nous l'avons déjà montré, l'espérance de l'homme en une vie future, ne repose pas dans ses facultés inhérentes, mais dans la disposition bienveillante que son Créateur montra par la délivrance de toute âme de la mort par le grand Rédempteur et par la condition subséquente que quiconque voudra obtenir la vie éternelle par la résurrection devra se soumettre aux termes de la Nouvelle Alliance.

Notre Rédempteur « répandit son âme [être] jusqu’à la mort » « Il offrit son âme [être] en sacrifice pour le péché » (Esaïe 53 : 10, 12) ; et ce fut l'âme d'Adam (et sa postérité) qu'Il racheta ainsi avec son sang précieux, en faisant de son âme (être) une offrande pour le péché. En conséquence, des âmes furent rachetées, et des âmes doivent être réveillées, ressuscitées. (Psaume 49 : 15).

Beaucoup supposent que les corps dans le sépulcre seront restaurés atome par atome ; mais l'Apôtre déclare, au contraire : « ce que tu sèmes [dans la mort] ce n'est pas le corps qui naîtra ». Dans la résurrection, Dieu donne à chacun (à chaque âme ou être sensitif) tel corps qu'il a plu à Sa sagesse infinie de lui donner : à l'Église choisie au cours de l'Age de l'Évangile, des corps d'esprits, et à la classe du Rétablissement, des corps humains, mais nullement ceux qui furent perdus dans la mort.

(1 Cor. 15 : 37, 38).

De même qu'à la création d'Adam, l'union d'un organisme et du souffle de vie, produisit un être animé ou âme, ainsi leur séparation par une cause quelconque met fin à l'être animé arrêtant toute pensée et toute sensation. L'âme (c'est-à-dire l'être sensible) cesse ; le corps retourne à la poussière d'où il venait ; tandis que l'esprit ou souffle de vie retourne à Dieu qui l'avait donné à Adam et à sa race par lui (Ecclésiaste 12 : 7). Il retourne à Dieu dans le sens qu'il n'est désormais plus soumis au contrôle de l'homme, comme dans la procréation. Et qu'il ne peut jamais être recouvré, sauf par la puissance divine. Reconnaissant ce fait, ceux qui reçoivent l'instruction de l'Éternel, confient leur espérance en une vie future par la résurrection, à Dieu et à Christ, Son représentant glorifié à présent (Luc 23: 46 ; Actes 7 : 59). Ainsi donc, si Dieu n'avait pourvu à la vie future de l'homme par une rançon et une promesse de résurrection, la mort aurait été la fin de toute espérance pour l'humanité (1 Corinthiens 15 : 14-18).

*  *  *

Pasteur Josué Matthieu

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